Parions l'Egalité

Lutter contre les inégalités fondées sur le genre en Afrique de l’Ouest et en Tunisie

L’inclusion économique des femmes est un facteur clé de leur émancipation individuelle et d’une véritable justice sociale à l’échelle de la collectivité.

Néanmoins, la rigidité des rôles attribués aux femmes et aux hommes dans les sociétés freine drastiquement les possibilités et les ressources permettant à ces dernières de s’insérer dans la vie active et de s’épanouir socialement.

Malgré leurs engagements internationaux et l’adoption de mesures politico-juridiques, les pays d’action du projet Parions l’Egalité comptent encore 27% en Tunisie voire entre 45 à 56% au Sahel (Sénégal, Burkina Faso, Mauritanie) de jeunes femmes (15-24 ans) n’étant ni en emploi ni en formation.

Depuis 2022, les partenaires du projet renforcent leurs actions en faveur de l’émancipation économique et sociale des jeunes et des femmes en identifiant les obstacles qui leur sont spécifiques tout en adaptant les dispositifs de formation et d’accompagnement à leurs besoins.

Ils mobilisent aussi des outils ludiques et artistiques, ainsi que les voix des femmes et des jeunes accompagné-es, pour promouvoir une culture de l’égalité à l’échelle communautaire.

A terme, les partenaires développeront leur propre sensibilité aux questions de genre afin de tendre vers un monde dans lequel les femmes possèdent un revenu stable et conservent la maitrise de leurs ressources.

 

Partenaires et financeurs

          

Programme d’Appui aux Droits et à la Santé Sexuelle et Reproductive (PADSSR)

Contribuer à l’autonomisation des jeunes et des femmes par la promotion des droits et de la santé sexuelle et reproductive

Dans le monde, 257 millions de femmes souhaitant éviter une grossesse n’accèdent pas aux services qui leur permettraient de le faire. Le droit à l’avortement et son accès recule dans de nombreux pays. C’est le cas à Madagascar, au Burkina Faso et au Tchad, ou il est soit illégal, soit accessible sous certaines conditions (en cas de viol, d’inceste ou raisons de santé). Au Vietnam et en Tunisie, l’avortement est légal mais son accès est particulièrement difficile, par manque d’équipements et de matériels.

Il en est de même avec l’Education Complète à la Sexualité, sujet tabou dans ces pays. Les contenus sont inexistants dans les programmes scolaires. Et si les professeur·es tentent de d’animer des ateliers, elles/ils peuvent en subir les répercussions. Pourtant, l’Education Complète à la Sexualité contribue au bien-être des jeunes, et à l’entretien de relations sociales et sexuelles respectueuses.

Face à ces constats, BATIK Int. et ses partenaires se sont alliées pour créer le Programme d’Appui aux Droits et à la Santé Sexuelle et Reproductive. Il vise à redonner le pouvoir de décision aux femmes et aux jeunes du Tchad, Burkina Faso, Madagascar, Vietnam et Tunisie. A travers un programme de formation et sensibilisation :

  • Les jeunes seront renforcé·es dans leurs connaissances sur la santé sexuelle et reproductive ;
  • Les professionnel·les des jeunesses et de la santé seront appuyé·es pour informer les jeunes et continuer à mieux prendre en charge les besoins des femmes ;
  • Les associations seront soutenues dans leur pouvoir d’influence auprès des pouvoirs publics pour un accès sans conditions à l’avortement dans leur pays.

 

Partenaires et financeurs

 

Fiche projet

KARAMA

Soutenir la résilience et la réinsertion des femmes ayant subi des violences en Afrique du Nord

Dans le monde, une femme sur trois subi des violences au cours de sa vie. Parfois invisibles, les séquelles des violences sont nombreuses (physiques, économiques, psychosociales, procréatives ou encore sexuelles), plongeant les victimes dans une vulnérabilité extrême. Combinées à d'autres discriminations (classe, origine, race […]) et à un manque de services publics adéquats, les femmes peinent à trouver les ressources pour échapper à ce cercle vicieux.

Ces violences à l'encontre des femmes et des filles n’épargnent pas les pays du sud de la Méditerranée malgré les mouvements sociaux et l’évolution des législations. Initié en 2018, le projet Karama soutient plusieurs dispositifs pluridisciplinaires pour accompagner les femmes à chaque étape de leur parcours (hébergement, écoute, appui psychologique, juridique, administratif et accès à la santé). Elles ont également accès à des formations professionnelles et à un soutien pour leur (ré)insertion, nécessaires à une réelle émancipation individuelle.

Leurs trajectoires s’inscrivant dans un environnement qui banalise les violences, nos partenaires sensibilisent également l’opinion publique. En parallèle, ils mènent des actions de prévention à destination des acteurs étatiques et/ou associatifs impliqués, de près ou de loin, dans leur prise en charge.

Ensemble, nous construisons un monde dans lequel chaque femme pourrait vivre sans crainte des violences et avec les moyens de réaliser pleinement son potentiel.

 

 

Partenaires et financeurs

Fiche projet

COOPAEM

Entreprendre collectivement pour réussir en Méditerranée

De par le monde, les inégalités économiques entre les femmes et les hommes sont encore très marquées. Plusieurs études démontrent pourtant l’importance du statut et du rôle que les femmes ont à jouer pour permettre le développement d’une société égalitaire et inclusive.

Engagés depuis plus de 10 ans auprès de nos partenaires méditerranéens (Tunisie, Maroc et Egypte), nous les avons accompagnés dans la mise en œuvre de plusieurs projets visant à améliorer la situation des femmes à travers leur insertion économique et sociale. Beaucoup d’entre elles ont ainsi bénéficié de formations et/ou ont créé leur propre activité génératrice de revenus.

Avec nos partenaires, nous nous concentrons à présent sur la formalisation de ces micro-entreprises grâce à la mise en place d’entreprises collectives. Ainsi regroupées, les entrepreneur.e.s pourront mutualiser des ressources, assurer la pérennité de leurs activités et bénéficier d’avantages sociaux tels que la protection sociale. En parallèle, une démarche de recherche-action contribuera à valoriser auprès des pouvoirs publics et des organismes financiers la pertinence de ce dispositif d’accompagnement du micro-entrepreunariat.

INSER.ECO.Net (2011-2013)

Programme d’insertion économique par les NTIC - Maroc/Tunisie

Les mouvements du printemps arabe ont montré que l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) sont un formidable levier de mobilisation sociale dans les pays de la rive Sud de la Méditerranée. Pour autant, l’accès à ces NTIC n’est pas assuré dans les quartiers défavorisés et les zones rurales et/reculées.

En partenariat avec PlaNet Finance (Maroc) et l’UTSS (Tunisie), nous avons lancé en 2011 le projet INSER.ECO.Net dans le but de lutter contre la pauvreté et de favoriser l’insertion professionnelle des populations fragilisées, via l’utilisation des NTIC. Appréhender comme un outil de gestion des activités génératrices de revenus et/ou comme compétences, l’idée était de favoriser l’accès à l’information et à l’embauche.

Le projet INSER.ECO.Net a ainsi permis de promouvoir le tourisme rural et d’aider les micro-entrepreneur.e.s à commercialiser leurs produits, grâce à la création de sites internet et à la mise en ligne de modules de formation à destination des jeunes.

Programme d'émancipation des femmes en Méditerranée (2006-2016)

Donner aux femmes méditerranéennes les moyens d’entreprendre

Depuis 2006, nous avons entrepris avec nos partenaires méditerranéens (Egypte, Maroc, Algérie, Liban et Tunisie) des actions de formation et de conseil à destination de femmes bénéficiant de micro-crédits, afin de les aider à mieux gérer leur activité économique.

Le projet FEM (Femmes Entrepreneuses en Méditerranée) a d’abord permis de d’identifier des secteurs d’activité porteurs dans chaque pays cible et de constater les besoins. Des services d’appui non-financiers, tels que des formations en gestion d’entreprise ou en comptabilité, ont contribué à renforcer les capacités des femmes souhaitant développer leur micro-entreprise. En parallèle, nous avons également animé des séances de sensibilisation pour qu’elles aient connaissance de leurs droits (santé, éducation, etc.) et qu’elles puissent les faire-valoir.

3 forums (Tunis – 2006, Caire – 2007 et Casablanca - 2008) se sont succédés et ont ainsi permis à 200 micro-entrepreneuses de se rencontrer, d’échanger sur leurs expériences et de nouer des relations commerciales. Cette mise en réseau s’est avérée très bénéfique, ce qui nous a conduit à organiser en 2008, à Strasbourg cette fois, le premier salon euro-méditerranéen de la micro-entreprise féminine.

L’année suivante, un groupe de micro-entrepreneuses a été accompagné dans la création d’une coopérative de textile équitable. Ainsi regroupées au sein d’une même entité juridique, les femmes disposaient d’une plus grande capacité de production et pouvaient mobiliser les moyens suffisants pour professionnaliser leur activité.

Forts de ses projets d’entrepreneuriat féminins en Méditerranée, nous avons décidé en 2011 de poursuivre nos actions en ce sens avec nos partenaires dans le cadre du projet GEPE (Genre et Economies Pluri’Elles). Le but consistait à proposer aux femmes sans emploi des formations dans des secteurs réservés traditionnellement aux hommes (téléphonie, mécanique, bâtiment…). Une sensibilisation importante sur les stéréotypes de genre a été nécessaire auprès de l’entourage et des entreprises locales.

Par la suite, notre démarche auprès des micro-entrepreneuses a continué dans le cadre du projet SAWA (Supportive Action for Women of Arabic world) lancé en 2013. L’objectif de sensibilisation portait désormais au niveau des institutions locales et des acteurs privés (entreprises) que nous souhaitions impliquer davantage. Là aussi, un travail de sensibilisation a été entrepris auprès d’eux, les incitant à améliorer l’accès au crédit, à l’emploi et à la formation et à renforcer la représentation des femmes dans les processus de prise de décision au niveau économique.

Tout au long des ces différentes phases d’action, nous accompagnons les associations locales dans le renforcement de leur compétences et de leur capacités par des formations, des échanges de pratiques, un accompagnement individualisé.

Devenu un véritable programme d’émancipation des femmes en Méditerranée au fil du temps, nos actions continuent aujourd’hui avec le projet COOPAEM.

Cadres créateurs - Maroc/Tunisie/Algérie (2004-2006)

Dynamiser des territoires grâce à l'entreprenariat des jeunes

Dans le cadre d’une convention de coopération entre la Région Rhône-Alpes et plusieurs pays d’Afrique, une plate-forme régionale de co-développement a été mise en place et animée avec l’aide de l’IFRA (Institut de Formation Rhône-Alpes). L’objectif de cette plateforme était de dynamiser l’économie sur ce double territoire.

Pour cela, le projet Cadres créateurs s’adressait à des porteur.se.s de projet sans emploi, souhaitant développer une activité économique en lien avec le Maroc, la Tunisie ou l’Algérie pour créer une structure en France ou au Maghreb.

Nous sommes intervenus sur l’ingénierie du dispositif à mettre en place, le suivi des porteur.se.s de projet, la recherche de stages, l’animation de formations, des séances de conseils personnalisés et l’organisation des missions (Maroc, Tunisie, Algérie). Cadres créateurs – Maghreb a bénéficié à 8 porteurs de projet en 2004. Ce projet a été reconduit en 2006 pour 8 autres personnes, sur des projets en lien avec l’Algérie.

Renforcement des services d'Enda interarabe – Tunisie (2004-2005)

Pérenniser l'activité des micro-entrepreneuses méditerranéennes

Basée en Tunisie, Enda interarabe est une institution de microfinance qui permet à des personnes très pauvres, majoritairement des femmes, d’accéder à des microcrédits. Cela leur facilite le lancement d’activités productives ou génératrices de revenus, tout en leur proposant un ensemble de services non-financiers ou d’appui technique.

Initié en 2004, notre partenariat avec Enda interarabe consistait à renforcer l’offre de services non-financiers (formations, conseils…) proposés aux micro-entrepreneuses, afin qu’elles puissent faire prospérer leur activité et la faire perdurer.

Suite à ce travail, nous avons décidé de poursuivre notre démarche auprès des femmes via la création en 2005 d’un dispositif régional de renforcement des capacités des micro-entrepreneuses : FEM - Femmes Entrepreneuses en Méditerranée.

(Voir le projet "Programme d'émancipation des femmes en Méditerranée")

Fiche projet

COOPAEM

Entreprendre collectivement pour réussir en Méditerranée

De par le monde, les inégalités économiques entre les femmes et les hommes sont encore très marquées. Plusieurs études démontrent pourtant l’importance du statut et du rôle que les femmes ont à jouer pour permettre le développement d’une société égalitaire et inclusive.

Engagés depuis plus de 10 ans auprès de nos partenaires méditerranéens (Tunisie, Maroc et Egypte), nous les avons accompagnés dans la mise en œuvre de plusieurs projets visant à améliorer la situation des femmes à travers leur insertion économique et sociale. Beaucoup d’entre elles ont ainsi bénéficié de formations et/ou ont créé leur propre activité génératrice de revenus.

Avec nos partenaires, nous nous concentrons à présent sur la formalisation de ces micro-entreprises grâce à la mise en place d’entreprises collectives. Ainsi regroupées, les entrepreneur.e.s pourront mutualiser des ressources, assurer la pérennité de leurs activités et bénéficier d’avantages sociaux tels que la protection sociale. En parallèle, une démarche de recherche-action contribuera à valoriser auprès des pouvoirs publics et des organismes financiers la pertinence de ce dispositif d’accompagnement du micro-entrepreunariat.

Partenaires et financeurs

INSER.ECO.Net (2011-2013)

Programme d’insertion économique par les NTIC - Maroc/Tunisie

Les mouvements du printemps arabe ont montré que l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) sont un formidable levier de mobilisation sociale dans les pays de la rive Sud de la Méditerranée. Pour autant, l’accès à ces NTIC n’est pas assuré dans les quartiers défavorisés et les zones rurales et/reculées.

En partenariat avec PlaNet Finance (Maroc) et l’UTSS (Tunisie), nous avons lancé en 2011 le projet INSER.ECO.Net dans le but de lutter contre la pauvreté et de favoriser l’insertion professionnelle des populations fragilisées, via l’utilisation des NTIC. Appréhender comme un outil de gestion des activités génératrices de revenus et/ou comme compétences, l’idée était de favoriser l’accès à l’information et à l’embauche.

Le projet INSER.ECO.Net a ainsi permis de promouvoir le tourisme rural et d’aider les micro-entrepreneur.e.s à commercialiser leurs produits, grâce à la création de sites internet et à la mise en ligne de modules de formation à destination des jeunes.

Partenaires et financeurs

Programme d'émancipation des femmes en Méditerranée (2006-2016)

Donner aux femmes méditerranéennes les moyens d’entreprendre

Depuis 2006, nous avons entrepris avec nos partenaires méditerranéens (Egypte, Maroc, Algérie, Liban et Tunisie) des actions de formation et de conseil à destination de femmes bénéficiant de micro-crédits, afin de les aider à mieux gérer leur activité économique.

Le projet FEM (Femmes Entrepreneuses en Méditerranée) a d’abord permis de d’identifier des secteurs d’activité porteurs dans chaque pays cible et de constater les besoins. Des services d’appui non-financiers, tels que des formations en gestion d’entreprise ou en comptabilité, ont contribué à renforcer les capacités des femmes souhaitant développer leur micro-entreprise. En parallèle, nous avons également animé des séances de sensibilisation pour qu’elles aient connaissance de leurs droits (santé, éducation, etc.) et qu’elles puissent les faire-valoir.

3 forums (Tunis – 2006, Caire – 2007 et Casablanca - 2008) se sont succédés et ont ainsi permis à 200 micro-entrepreneuses de se rencontrer, d’échanger sur leurs expériences et de nouer des relations commerciales. Cette mise en réseau s’est avérée très bénéfique, ce qui nous a conduit à organiser en 2008, à Strasbourg cette fois, le premier salon euro-méditerranéen de la micro-entreprise féminine.

L’année suivante, un groupe de micro-entrepreneuses a été accompagné dans la création d’une coopérative de textile équitable. Ainsi regroupées au sein d’une même entité juridique, les femmes disposaient d’une plus grande capacité de production et pouvaient mobiliser les moyens suffisants pour professionnaliser leur activité.

Forts de ses projets d’entrepreneuriat féminins en Méditerranée, nous avons décidé en 2011 de poursuivre nos actions en ce sens avec nos partenaires dans le cadre du projet GEPE (Genre et Economies Pluri’Elles). Le but consistait à proposer aux femmes sans emploi des formations dans des secteurs réservés traditionnellement aux hommes (téléphonie, mécanique, bâtiment…). Une sensibilisation importante sur les stéréotypes de genre a été nécessaire auprès de l’entourage et des entreprises locales.

Par la suite, notre démarche auprès des micro-entrepreneuses a continué dans le cadre du projet SAWA (Supportive Action for Women of Arabic world) lancé en 2013. L’objectif de sensibilisation portait désormais au niveau des institutions locales et des acteurs privés (entreprises) que nous souhaitions impliquer davantage. Là aussi, un travail de sensibilisation a été entrepris auprès d’eux, les incitant à améliorer l’accès au crédit, à l’emploi et à la formation et à renforcer la représentation des femmes dans les processus de prise de décision au niveau économique.

Tout au long des ces différentes phases d’action, nous accompagnons les associations locales dans le renforcement de leur compétences et de leur capacités par des formations, des échanges de pratiques, un accompagnement individualisé.

Devenu un véritable programme d’émancipation des femmes en Méditerranée au fil du temps, nos actions continuent aujourd’hui avec le projet COOPAEM.

Ressources

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Cadres créateurs - Maroc/Tunisie/Algérie (2004-2006)

Dynamiser des territoires grâce à l'entreprenariat des jeunes

Dans le cadre d’une convention de coopération entre la Région Rhône-Alpes et plusieurs pays d’Afrique, une plate-forme régionale de co-développement a été mise en place et animée avec l’aide de l’IFRA (Institut de Formation Rhône-Alpes). L’objectif de cette plateforme était de dynamiser l’économie sur ce double territoire.

Pour cela, le projet Cadres créateurs s’adressait à des porteur.se.s de projet sans emploi, souhaitant développer une activité économique en lien avec le Maroc, la Tunisie ou l’Algérie pour créer une structure en France ou au Maghreb.

Nous sommes intervenus sur l’ingénierie du dispositif à mettre en place, le suivi des porteur.se.s de projet, la recherche de stages, l’animation de formations, des séances de conseils personnalisés et l’organisation des missions (Maroc, Tunisie, Algérie). Cadres créateurs – Maghreb a bénéficié à 8 porteurs de projet en 2004. Ce projet a été reconduit en 2006 pour 8 autres personnes, sur des projets en lien avec l’Algérie.

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Renforcement des services d'Enda interarabe – Tunisie (2004-2005)

Pérenniser l'activité des micro-entrepreneuses méditerranéennes

Basée en Tunisie, Enda interarabe est une institution de microfinance qui permet à des personnes très pauvres, majoritairement des femmes, d’accéder à des microcrédits. Cela leur facilite le lancement d’activités productives ou génératrices de revenus, tout en leur proposant un ensemble de services non-financiers ou d’appui technique.

Initié en 2004, notre partenariat avec Enda interarabe consistait à renforcer l’offre de services non-financiers (formations, conseils…) proposés aux micro-entrepreneuses, afin qu’elles puissent faire prospérer leur activité et la faire perdurer.

Suite à ce travail, nous avons décidé de poursuivre notre démarche auprès des femmes via la création en 2005 d’un dispositif régional de renforcement des capacités des micro-entrepreneuses : FEM - Femmes Entrepreneuses en Méditerranée.

(Voir le projet "Programme d'émancipation des femmes en Méditerranée")

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